La peine de mort est l’un des plus grands outrages au droit de l’homme. À l’heure actuelle, la plupart des États ont aboli la peine de mort. En revanche, il y encore un bon nombre d’États qui applique cette peine capitale selon le type de crime commis par l’accusé. Faisant partie des pays qui procède encore à un grand nombre d’exécutions, la résistance iranienne se milite pour l’abolition de la peine de mort. Pour l’Iran de demain, la résistance se bat pour l’institution d’un pouvoir judiciaire indépendant, la liberté, l’égalité et l’existence de vie privée pour tous les citoyens.
La bataille de Maryam Rajavi pour l’abolition de la peine de mort en Iran
Le code pénal du régime en Iran dispose que toutes les personnes reconnues comme coupable de « guerre contre Dieu » par le seul fait d’être membre ou allié de l’OMPI est passible de la peine de mort. Pour leur opposition politique, nombreuses sont les personnes qui ont été exécutées. Face à l’exaction qui vise les droits humains, les droits des femmes et des jeunes ainsi que le défenseur, le peuple iranien plonge dans une situation où la liberté de vie n’est pas apparente.
Face à cela, maryam rajavi ne cesse de militer pour un Iran libre avec l’abolition de la peine de mort. Ayant déjà appelé à un changement de régime iranien, cette figure du juste et de la liberté a de nombreuses fois sollicitée la Communauté Internationale et les pays occidentaux à venir en aide au peuple iranien pour cette situation qui ne cesse de se dégrader. Pour suivre les actualités concernant cette affaire en Iran, veuillez visiter maryam-rajavi.com
La résistance iranienne face à la peine de mort
Il est indéniable que tout le monde sans distinction d’âge et de sexe peut être victime des tortures et de l’effectivité de la peine capitale en Iran. Femme, homme ou mineurs, personne n’est à l’abri de la cruauté de ces punitions. Dans ce sens, l’opposition iranienne se rebelle pour lutter contre cette forme d’injustice. En 2018, au moins 253 personnes ont été exécutées. Toutefois, cette statistique s’affiche sans décomptage des nombres tenus secrets.
À travers la résistance iranienne, le peuple iranien se bat contre l’oppression du régime en place. Défenseur féru des droits de l’homme et à la tête du Conseil National de la Résistance Iranienne, Maryam Rajavi milite pour l’abolition de la peine de mort en Iran. De ce fait, l’opposition iranienne œuvre pour un Iran démocratique et pour un ample respect des droits de l’homme. Ainsi, la résistance bataille pour l’abolition de la peine capitale et non pas pour la réduction des taux d’exécution. Pour un Iran libre et non oppressé, le peuple iranien se fait entendre par le biais des activités de la résistance iranienne.
Un plan bien élaboré pour avenir meilleur
La résistance iranienne demande l’abolition de la peine de mort dans son plan en dix points. Tout en appelant ses compatriotes à contrer ce châtiment inhumain, l’opposition iranienne veut faire renaître l’amitié, la conciliation et la tolérance. Pour un avenir meilleur, elle souligne qu’il est important de mettre fin au décret religieux des mollhans sans oublier le rejet la peine de mort, la loi de la rétribution et aussi les autres abus effectués par ce régime.
Dans sa bataille pour la justice, la résistance iranienne se penche sur la préconisation de lois axées sur le pardon, l’humanité et la compassion. Pour un meilleur avenir, l’opposition iranienne œuvre pour que chaque citoyen soit en pleine jouissance de ses droits, tout en cherchant un nouvel ordre basé sur la démocratie, l’égalité et la liberté. Avec la persévérance et une bataille acharnée, il est d’emblée de mettre fin à l’exécution des enfants, mineurs, la privatisation de l’accès en justice pour instaurer le respect de la personne et de sa dignité morale.